La kinésiologie est une approche qui repose sur l’interconnexion entre les systèmes structurel, lymphatique, neurologique, psychologique, vasculaire, chimique et énergétique. Le principe est qu’un stress affectant un système perturbe l’équilibre de tous les autres, ce déséquilibre se manifestant dans la tonicité musculaire.
Ces séances mêlant psychologie et écoute du corps permettent de défaire les nœuds qui nous empêchent de réagir correctement face aux situations de la vie. Celle de plonger dans une piscine ou simplement mettre la tête sou l’eau, qui est pour certaines personnes, une action irréalisable.
L’eau est un environnement bénéfique pour l’être humain tant que la sécurité est présente.
Dans cette notion de sécurité, il y a bien sûr des dangers qui sont évidents : immersions prolongées, courants, vagues, froid extrême, faune… Des facteurs qui sont à prendre en compte et à éviter pour évoluer en toute quiétude dans l’environnement aquatique.
Dans cette notion de sécurité, il existe une autre partie qui est non rationnelle, comprenant des craintes non fondées qui perturbent la pratique des activités aquatiques.
Nous voyons que ces angoisses sont des conflits entre la réalité de notre corps et la projection de nos peurs et traumatismes. Ces traumatismes trouvent leurs origines dans l’eau ou non.
C’est à la vue de ce constat qu’une prise de recul est nécessaire et que certaines étapes de l’apprentissage de la natation doivent se faire loin des bassins.
Un réflexe archaïque est un réflexe inné et automatique présent chez les bébés et les jeunes enfants, qui disparaît généralement avec la maturation du système nerveux. Ces réflexes sont nécessaires pour un bon développement moteur mais peuvent poser des problèmes si la maturation du système nerveux ne se fait pas correctement. Dans ce cas, ils peuvent entraîner une incapacité à mettre la tête sous l’eau. Ces conséquences peuvent être travaillées en kinésiologie.
